HÉMANGIOME INFANTILE

indication
Qu'est-ce que c'est ?
Une tumeur vasculaire bénigne.
qui touche cette indication
Qui est concerné ?
8 à 12% des naissances.
comment se presente indication
À quoi ça ressemble ?
À des lésions vasculaires bombées.

L’hémangiome infantile est une tumeur vasculaire bénigne présente dès la naissance ou dans les semaines qui suivent.

En général, les hémangiomes ne sont pas une indication de traitement par laser vasculaire, car ils ont tendance à rétrécir spontanément.

Certains cas nécessitent une attention particulière, voire un acte médical pour les cas les plus graves.

En Occident, l’hémangiome est la tumeur de l’enfance la plus fréquente.

C’est une pathologie congénitale qui touche 8 à 12 % des naissances et 10 à 12 % des enfants avant 1 an.

Dans 80 % des cas, l’hémangiome infantile n’entraîne pas de complications.

L’hémangiome touche le plus souvent :

  • Les prématurés.
  • Les enfants issus de grossesses multiples.
  • Les filles.

Ce sont des lésions vasculaires bombées, de couleur rouge ou violacée, hyperplasiques qui apparaissent dès la naissance ou au cours de la première année de vie du nourrisson.

Le plus souvent, les hémangiomes régressent spontanément.

Nous constatons que les lésions superficielles ont un aspect rouge, contrairement aux lésions plus profondes, qui révèlent une couleur violacée.

Les hémangiomes infantiles évoluent en 3 phases :

  • Une phase de progression rapide : en fonction de leur localisation, les hémangiomes peuvent affecter la vision ou les voies respiratoires en très peu de temps.
  • Une phase de stabilisation : la taille et la vascularisation de l’hémangiome évoluent rapidement et atteignent souvent un pic à l’âge de 1 an.
  • Une phase de régression : les lésions involuent progressivement dès l’âge de 12 à 18 mois en taille<span »> et en vascularisation également. Le plus souvent, les hémangiomes régressent de 10% par an, avec une atténuation complète à l’âge de 10 ans.

Pendant cette phase, la couleur peut devenir jaunâtre ou télangiectasique et la texture peut être “ridée” et laxé.
Les aspects résiduels sont presque toujours proportionnels à la taille de la lésion et à sa vascularisation.

Les hémangiomes infantiles sont répertoriés, selon divers facteurs :

  • Leur siège (superficiel, profond).
  • Leur aspect (caverneux, ou non).

Le diagnostic de l’hémangiome infantile est clinique.

Son étendue peut être évaluée par IRM lorsque les lésions semblent affecter des structures vitales.

traitement des hemangiomes infantiles

Les hémangiomes infantiles se manifestent sur plusieurs zones.

Le plus souvent, les zones où sont affectées ces lésions, ne présentent aucun risque pour la santé :

  • Le crâne.
  • Le visage (joues, menton…, éloignés des voies respiratoires ou des yeux).
  • Le dos.
  • Les membres supérieurs et/ou les membres inférieurs.

Cependant, d’autres affectations peuvent mettre en danger la vie de l’enfant et l’anomalie qui est bénigne le plus souvent, devient alors urgente. Le pronostic fonctionnel devra systématiquement être évalué selon la localisation de l’hémangiome :

  • Au visage (périoculaire ou périorbitaire) ou à l’oropharynx, l’hémangiome peut perturber la vision ou obstruer les voies respiratoires.
  • Au méat urétral ou à l’anus, l’hémangiome peut gêner la miction ou la défécation.
  • Au lombo sacré, il peut être le signe d’anomalies neurologiques ou génito-urinaires sous-jacentes.

Les causes de ces malformations capillaires ne sont pas évidentes.

Il existe plusieurs facteurs de risques à l’apparition de ces lésions cutanées :

  • Une prématurité.
  • Une grossesse multiple.
  • Une grossesse avec des complications (anomalies du placenta, hypertension artérielle).
  • Des antécédents familiaux d’hémangiomes infantiles.

L’hémangiome infantile peut être confondues avec de nombreuses pathologies telles que :

  • La tumeur maligne du nourrisson.
  • La malformation vasculaire.
  • Le syndrome de Kasabach-Meritt.
Qu'est-ce que l'hémangiome infantile ?

L’hémangiome infantile est une tumeur vasculaire bénigne présente dès la naissance ou dans les semaines qui suivent.

En général, les hémangiomes ne sont pas une indication de traitement par laser vasculaire, car ils ont tendance à rétrécir spontanément.

Certains cas nécessitent une attention particulière, voire un acte médical pour les cas les plus graves.

Qui est concerné ?

En Occident, l’hémangiome est la tumeur de l’enfance la plus fréquente.

C’est une pathologie congénitale qui touche 8 à 12 % des naissances et 10 à 12 % des enfants avant 1 an.

Dans 80 % des cas, l’hémangiome infantile n’entraîne pas de complications.

L’hémangiome touche le plus souvent :

  • Les prématurés.
  • Les enfants issus de grossesses multiples.
  • Les filles.
Comment cela se présente ?

Ce sont des lésions vasculaires bombées, de couleur rouge ou violacée, hyperplasiques qui apparaissent dès la naissance ou au cours de la première année de vie du nourrisson.

Le plus souvent, les hémangiomes régressent spontanément.

Nous constatons que les lésions superficielles ont un aspect rouge, contrairement aux lésions plus profondes, qui révèlent une couleur violacée.

Les hémangiomes infantiles évoluent en 3 phases :

  • Une phase de progression rapide : en fonction de leur localisation, les hémangiomes peuvent affecter la vision ou les voies respiratoires en très peu de temps.
  • Une phase de stabilisation : la taille et la vascularisation de l’hémangiome évoluent rapidement et atteignent souvent un pic à l’âge de 1 an.
  • Une phase de régression : les lésions involuent progressivement dès l’âge de 12 à 18 mois en taille et en vascularisation également. Le plus souvent, les hémangiomes régressent de 10% par an, avec une atténuation complète à l’âge de 10 ans.

Pendant cette phase, la couleur peut devenir jaunâtre ou télangiectasique et la texture peut être “ridée” et laxé.
Les aspects résiduels sont presque toujours proportionnels à la taille de la lésion et à sa vascularisation.

Les hémangiomes infantiles sont répertoriés, selon divers facteurs :

  • Leur siège (superficiel, profond).
  • Leur aspect (caverneux, ou non).

Le diagnostic de l’hémangiome infantile est clinique.

Son étendue peut être évaluée par IRM lorsque les lésions semblent affecter des structures vitales.

Sur quelles zones ?

Les hémangiomes infantiles se manifestent sur plusieurs zones.

Le plus souvent, les zones où sont affectées ces lésions, ne présentent aucun risque pour la santé :

  • Le crâne.
  • Le visage (joues, menton…, éloignés des voies respiratoires ou des yeux).
  • Le dos.
  • Les membres supérieurs et/ou les membres inférieurs.

Cependant, d’autres affectations peuvent mettre en danger la vie de l’enfant et l’anomalie qui est bénigne le plus souvent, devient alors urgente. Le pronostic fonctionnel devra systématiquement être évalué selon la localisation de l’hémangiome :

  • Au visage (périoculaire ou périorbitaire) ou à l’oropharynx, l’hémangiome peut perturber la vision ou obstruer les voies respiratoires.
  • Au méat urétral ou à l’anus, l’hémangiome peut gêner la miction ou la défécation.
  • Au lombo sacré, il peut être le signe d’anomalies neurologiques ou génito-urinaires sous-jacentes.
Quelles sont les causes et les facteurs favorisants ?

Les causes de ces malformations capillaires ne sont pas évidentes.

Il existe plusieurs facteurs de risques à l’apparition de ces lésions cutanées :

  • Une prématurité.
  • Une grossesse multiple.
  • Une grossesse avec des complications (anomalies du placenta, hypertension artérielle).
  • Des antécédents familiaux d’hémangiomes infantiles.
Quels sont les diagnostics différentiels ?

L’hémangiome infantile peut être confondues avec de nombreuses pathologies telles que :

  • La tumeur maligne du nourrisson.
  • La malformation vasculaire.
  • Le syndrome de Kasabach-Meritt.
Quelle est l'évolution de l'hémangiome infantile ?

Le plus souvent, l’hémangiome disparaît de lui-même en quelques années.

Quels sont les traitements ?

Il n’existe aucune recommandation de traitement universel des hémangiomes infantiles, car ils ont tendance à disparaître spontanément.

Un traitement doit être envisagé pour les lésions qui :

  • Menacent la vie.
  • Menacent une fonction (vision, respiration).
  • Impliquent de grandes zones du visage.
  • Sont réparties sur toute la barbe.
  • Sont ulcérés.
  • Sont multiples.
  • Sont lombo-sacrées.

L’exérèse chirurgicale ou toute autre intervention agressive doit être évitée le plus possible du fait du risque de séquelles cicatricielles plus fréquentes qu’en cas de régression spontanée.

Nous ne sommes pas en capacité au centre esthétique et laser Gramont (du fait de la nécessité d’une anesthésie générale) de réaliser de traitement chez le petit enfant. Le milieu hospitalier est plus approprié.

Quel traitement au CEL ?

Dans le Centre Esthétique et Laser Gramont nous traitons ce type de lésion cutanée par laser à colorant pulsé (LCP).
Le traitement idéal varie en fonction de nombreux facteurs spécifiques au patient.

Il est indispensable avant tout traitement d’avoir une première consultation avec le praticien.

Une succession de tirs lasers répartis de proche en proche sur toute la lésion à traiter permet de la résorber en une à trois séances.

Description du traitement

Conformément aux recommandations de l’ANDEM (ANAES), le LCP est la solution pour traiter certains types d’hémangiomes.

Le laser à colorant pulsé émet une longueur d’onde entre 585 et 595 nm. Il cible l’hémoglobine située dans les vaisseaux.

Le LCP offre une profondeur de pénétration faible à moyenne. Une excellente tolérance à la pratique de ce laser est constatée.

Les types d’hémangiomes qui peuvent être traités par laser vasculaire sont les suivants :

  • Les séquelles tardives d’hémangiomes.
  • Les hémangiomes étendus (membres).
  • Les hémangiomes avec risques de séquelles importantes.
  • Les hémangiomes péri-orificiels.
  • Les hémangiomes ulcérés, notamment dans la région périnéale.
Quel est le protocole de traitement ?

Traitement d’attaque

  • 1 à 3 séances espacées de 4 semaines.
Comment se déroule une séance ?
  • Le praticien procède à la désinfection de la zone à traiter.
  • Des photographies sont réalisées.
  • Si la zone à traiter se situe au niveau du visage, des coques de protection adaptées sont remises au patient, sinon des lunettes de protection sont nécessaires.
  • Un dispositif de froid est utilisé en même temps que les tirs lasers sont appliqués.
  • La réponse de l’hémangiome infantile peut être très rapide en disparaissant instantanément ou en changeant de couleur.
  • Une crème cicatrisante est répartie sur la zone traitée.
Quelles sont les recommandations globales ?

Avant

  • Éviter l’exposition au soleil ou aux ultraviolets à moins d’un mois. La peau ne doit pas être bronzée.
  • Ne pas appliquer d’auto-bronzant.
  • Prendre de la lidocaïne pour diminuer les douleurs.

Après

  • Pour nettoyer la zone, appliquer un antiseptique ou lotion nettoyante.
  • Prise de stéroïdes locaux ou d’antibiotiques (mupirocine ou métronidazole localement).
  • Protection solaire SPF 50.
  • Traitements locaux et le soin des plaies sont indispensables pour les lésions ulcérées, car ils aident à la cicatrisation tout en prévenant les hémorragies et la douleur.
  • Pansements barrières (de type polyuréthane ou gaze imbibée de vaseline).
  • Crèmes hydratantes et cicatrisante type Cytolnat Centella, Aloe Vera, cicaplast baume B5 ou cicalfate, immédiatement puis 3 fois par jour pendant 7 jours.
  • Valacyclovir 500, 2 fois/jour pendant 3 jours, en prévention de l’herpès.
  • En cas d’œdème post traitement laser au niveau du visage : 3-4 jours de crème à la cortisone à 0,5% (que l’on peut mélanger avec crème cicatrisante).

Il n’existe aucune recommandation de traitement universel des hémangiomes infantiles, car ils ont tendance à disparaître spontanément.

Un traitement doit être envisagé pour les lésions qui :

  • Menacent la vie.
  • Menacent une fonction (vision, respiration).
  • Impliquent de grandes zones du visage.
  • Sont réparties sur toute la barbe.
  • Sont ulcérés.
  • Sont multiples.
  • Sont lombo-sacrées.

L’exérèse chirurgicale ou toute autre intervention agressive doit être évitée le plus possible du fait du risque de séquelles cicatricielles plus fréquentes qu’en cas de régression spontanée.

Nous ne sommes pas en capacité au centre esthétique et laser Gramont (du fait de la nécessité d’une anesthésie générale) de réaliser de traitement chez le petit enfant. Le milieu hospitalier est plus approprié.

Dans le Centre Esthétique et Laser Gramont nous traitons ce type de lésion cutanée par laser à colorant pulsé (LCP).
Le traitement idéal varie en fonction de nombreux facteurs spécifiques au patient.

Il est indispensable avant tout traitement d’avoir une première consultation avec le praticien.

Une succession de tirs lasers répartis de proche en proche sur toute la lésion à traiter permet de la résorber en une à trois séances.

Description du traitement

Conformément aux recommandations de l’ANDEM (ANAES), le LCP est la solution pour traiter certains types d’hémangiomes.

Le laser à colorant pulsé émet une longueur d’onde entre 585 et 595 nm. Il cible l’hémoglobine située dans les vaisseaux.

Le LCP offre une profondeur de pénétration faible à moyenne. Une excellente tolérance à la pratique de ce laser est constatée.

Les types d’hémangiomes qui peuvent être traités par laser vasculaire sont les suivants :

  • Les séquelles tardives d’hémangiomes.
  • Les hémangiomes étendus (membres).
  • Les hémangiomes avec risques de séquelles importantes.
  • Les hémangiomes péri-orificiels.
  • Les hémangiomes ulcérés, notamment dans la région périnéale.

Traitement d’attaque

  • 1 à 3 séances espacées de 4 semaines.
  • Le praticien procède à la désinfection de la zone à traiter.
  • Des photographies sont réalisées.
  • Si la zone à traiter se situe au niveau du visage, des coques de protection adaptées sont remises au patient, sinon des lunettes de protection sont nécessaires.
  • Un dispositif de froid est utilisé en même temps que les tirs lasers sont appliqués.
  • La réponse de l’hémangiome infantile peut être très rapide en disparaissant instantanément ou en changeant de couleur.
  • Une crème cicatrisante est répartie sur la zone traitée.

Avant

  • Éviter l’exposition au soleil ou aux ultraviolets à moins d’un mois. La peau ne doit pas être bronzée.
  • Ne pas appliquer d’auto-bronzant.
  • Prendre de la lidocaïne pour diminuer les douleurs.

Après

  • Pour nettoyer la zone, appliquer un antiseptique ou lotion nettoyante.
  • Prise de stéroïdes locaux ou d’antibiotiques (mupirocine ou métronidazole localement).
  • Protection solaire SPF 50.
  • Traitements locaux et le soin des plaies sont indispensables pour les lésions ulcérées, car ils aident à la cicatrisation tout en prévenant les hémorragies et la douleur.
  • Pansements barrières (de type polyuréthane ou gaze imbibée de vaseline).
  • Crèmes hydratantes et cicatrisante type Cytolnat Centella, Aloe Vera, cicaplast baume B5 ou cicalfate, immédiatement puis 3 fois par jour pendant 7 jours.
  • Valacyclovir 500, 2 fois/jour pendant 3 jours, en prévention de l’herpès.
  • En cas d’œdème post traitement laser au niveau du visage : 3-4 jours de crème à la cortisone à 0,5% (que l’on peut mélanger avec crème cicatrisante).
Quels sont les résultats ?

Le résultat est très satisfaisant et la disparition complète de la lésion peut être obtenue en une à trois séances.

Les effets secondaires à prévoir sont :

  • Une rougeur autour de la lésion.
  • Un changement de couleur de l’hémangiome (noircit).
  • Un trouble de la pigmentation.
  • Des bulles épidermiques.
  • De l’herpès ou de la prophylaxie.
  • Une infection ou des maladies auto-immunes si le protocole de traitement n’est pas bien suivi.
  • Grossesse.

Antécédents cutanés

  • Exposition au soleil ou UV importante récente, bronzage, utilisation d’autobronzant.
  • Infection cutanée, plaie ou brûlure dans la zone à traiter.
  • Lésion cutanée active (eczéma, dermatite, psoriasis) dans la zone à traiter.
  • Trouble de la pigmentation.
  • Tatouage ou maquillage permanent.

Antécédents Infectieux

  • Fièvre le jour de la séance ou les jours avant.
  • Pathologie infectieuse aiguë (bronchite, sinusite, angine, etc).
  • Corticothérapie au long cours avec troubles trophiques secondaires.

Contre-indications liées à l’hémangiome infantile

  • Doute quant à la nature de la lésion.
Quels sont les effets secondaires ?

Les effets secondaires à prévoir sont :

  • Une rougeur autour de la lésion.
  • Un changement de couleur de l’hémangiome (noircit).
  • Un trouble de la pigmentation.
  • Des bulles épidermiques.
  • De l’herpès ou de la prophylaxie.
  • Une infection ou des maladies auto-immunes si le protocole de traitement n’est pas bien suivi.
Quelles sont les contre-indications générales au traitement par laser vasculaire ?
  • Grossesse.

Antécédents cutanés

  • Exposition au soleil ou UV importante récente, bronzage, utilisation d’autobronzant.
  • Infection cutanée, plaie ou brûlure dans la zone à traiter.
  • Lésion cutanée active (eczéma, dermatite, psoriasis) dans la zone à traiter.
  • Trouble de la pigmentation.
  • Tatouage ou maquillage permanent.

Antécédents Infectieux

  • Fièvre le jour de la séance ou les jours avant.
  • Pathologie infectieuse aiguë (bronchite, sinusite, angine, etc).
  • Corticothérapie au long cours avec troubles trophiques secondaires.

Contre-indications liées à l’hémangiome infantile

  • Doute quant à la nature de la lésion.
Quels sont les avantages d'un traitement par laser vasculaire ?
tous phototypes

Efficace sur tous types de peaux, même foncées.

bonne cicatrisation

Bonne cicatrisation.

ecchymoses

Moins de risque d’ecchymose.

non invasif

Non invasif.

aucune eviction sociale

Pas d’éviction sociale.

aucun risque pour tissus environnants

Pas de risques pour les tissus environnants.

peu douloureux

Peu douloureux.

soins medecine esthetique toulouse
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