ÉRYTHROCOUPEROSE
L’érythrocouperose est une maladie vasculaire de la peau, entraînant une dilatation des petits vaisseaux sanguins au niveau du visage.
L’apparition est d’abord temporaire puis elle devient permanente et de plus en plus visible causant des complexes esthétiques.
Cette maladie vasculaire touche 45 millions de personnes dans le monde.
Les femmes sont le plus souvent touchées et les hommes héritent des formes les plus sévères (le rhinophyma).
Les peaux fines et claires sont plus sujettes à cette anomalie.
Être atteint de l’érythrocouperose se traduit par des rougeurs persistantes et localisées. Elles peuvent également avoir l’aspect rosé ou violacé.
L’érythrocouperose est composé de plusieurs étapes :
Le flush
Le flush est un érythème transitoire. Il est intermittent et disparaît en quelques minutes, mais peut être relativement gênant pour le patient.
L’érythrose
À cette étape de la maladie, la peau devient rouge en permanence à l’endroit des érythèmes transitoires, même en dehors des épisodes de flush. Les vaisseaux ne sont pas encore visibles à l’œil nu.
La couperose
A ce stade, les vaisseaux grossissent et deviennent visibles. Ils forment un maillage rouge/violacé à la surface de la peau, que l’on appelle « télangiectasies ». Les vaisseaux sont perçus sur un fond rougeâtre diffus.
Le stade de la couperose peut également prendre le nom d’érythrocouperose.
La rosacée
Ce dernier stade de la maladie présente 3 formes distinctes :
L’acné rosacée (rosacée papulopustuleuse)
À cette étape, en plus du fond de couperose, des boutons rouges ou blancs (purulents), des papules et/ou pustules inflammatoires, identiques à ceux d’une acné, apparaissent : il s’agit alors d’acné rosacée.
Rosacée phytomateuse (le rhinophyma)
La peau s’épaissit, le nez s’élargit.
Le nez dit « bulbeux » est le siège de télangiectasies entrelacées sur un fond bosselé et gonflé.
La rosacée oculaire
Les yeux sont rouges graveleux, avec des sensations de brûlures et/ou de démangeaisons.
Les yeux brûlants et secs larmoient de façon excessive et les paupières sont enflées. Une perte de vision et des lésions cornéennes peuvent compliquer l’évolution chronique.
L’érythrocouperose est située exclusivement sur le visage, au niveau de la zone médiane du front et des sourcils, du nez, des joues et du menton.
Dans les formes plus évoluées, l’érythrocouperose peut apparaître sur le crâne, les oreilles, le cou et le décolleté.
De nombreux facteurs favorisent l’apparition de l’érythrocouperose tels que :
- La génétique.
- Les changements de température.
- Les expositions prolongées au soleil.
- Les expositions aux lampes de bronzage.
- Les émotions.
- Le stress.
- La nourriture épicée.
- L’alcool, même en petite quantité.
- Les boissons chaudes.
- Le mauvais fonctionnement de la barrière intestinale.
- Le régime alimentaire pro inflammatoire.
- L’utilisation d’agents topiques non adaptés.
Les peaux particulièrement fragiles et claires sont plus sujettes à l’érythrocouperose. Un sujet jeune, sans exposition à l’alcool peut être sujet à l’érythrocouperose.
Il existe d’autres étiologies à cette affectation cutanée qu’est l’érythrocouperose comme :
- Les Radiodermites.
- Les Collagénoses.
- La Cirrhose.
- La Maladie de Rendu-Osler.
- L’utilisation prolongée d’agents topiques non adaptés.
- Le mauvais fonctionnement de la barrière intestinale.
Le stade de l’acné rosacée peut être confondue ou coexister avec de l’acné vulgaire et une dermatite séborrhéique.
L’érythrocouperose est une maladie vasculaire de la peau, entraînant une dilatation des petits vaisseaux sanguins au niveau du visage.
L’apparition est d’abord temporaire puis elle devient permanente et de plus en plus visible causant des complexes esthétiques.
Cette maladie vasculaire touche 45 millions de personnes dans le monde.
Les femmes sont le plus souvent touchées et les hommes héritent des formes les plus sévères (le rhinophyma).
Les peaux fines et claires sont plus sujettes à cette anomalie.
Être atteint de l’érythrocouperose se traduit par des rougeurs persistantes et localisées. Elles peuvent également avoir l’aspect rosé ou violacé.
L’érythrocouperose est composé de plusieurs étapes :
Le flush
Le flush est un érythème transitoire. Il est intermittent et disparaît en quelques minutes, mais peut être relativement gênant pour le patient.
L’érythrose
À cette étape de la maladie, la peau devient rouge en permanence à l’endroit des érythèmes transitoires, même en dehors des épisodes de flush. Les vaisseaux ne sont pas encore visibles à l’œil nu.
La couperose
A ce stade, les vaisseaux grossissent et deviennent visibles. Ils forment un maillage rouge/violacé à la surface de la peau, que l’on appelle « télangiectasies ». Les vaisseaux sont perçus sur un fond rougeâtre diffus.
Le stade de la couperose peut également prendre le nom d’érythrocouperose.
La rosacée
Ce dernier stade de la maladie présente 3 formes distinctes :
L’acné rosacée (rosacée papulopustuleuse)
À cette étape, en plus du fond de couperose, des boutons rouges ou blancs (purulents), des papules et/ou pustules inflammatoires, identiques à ceux d’une acné, apparaissent : il s’agit alors d’acné rosacée.
Rosacée phytomateuse (le rhinophyma)
La peau s’épaissit, le nez s’élargit.
Le nez dit « bulbeux » est le siège de télangiectasies entrelacées sur un fond bosselé et gonflé.
La rosacée oculaire
Les yeux sont rouges graveleux, avec des sensations de brûlures et/ou de démangeaisons.
Les yeux brûlants et secs larmoient de façon excessive et les paupières sont enflées. Une perte de vision et des lésions cornéennes peuvent compliquer l’évolution chronique.
- L’érythrocouperose est située exclusivement sur le visage, au niveau de la zone médiane du front et des sourcils, du nez, des joues et du menton.
- Dans les formes plus évoluées, l’érythrocouperose peut apparaître sur le crâne, les oreilles, le cou et le décolleté.
De nombreux facteurs favorisent l’apparition de l’érythrocouperose tels que :
- La génétique.
- Les changements de température.
- Les expositions prolongées au soleil.
- Les expositions aux lampes de bronzage.
- Les émotions.
- Le stress.
- La nourriture épicée.
- L’alcool, même en petite quantité.
- Les boissons chaudes.
- Le mauvais fonctionnement de la barrière intestinale.
- Le régime alimentaire pro inflammatoire.
- L’utilisation d’agents topiques non adaptés.
Les peaux particulièrement fragiles et claires sont plus sujettes à l’érythrocouperose. Un sujet jeune, sans exposition à l’alcool peut être sujet à l’érythrocouperose.
Il existe d’autres étiologies à cette affectation cutanée qu’est l’érythrocouperose comme :
- Les Radiodermites.
- Les Collagénoses.
- La Cirrhose.
- La Maladie de Rendu-Osler.
- L’utilisation prolongée d’agents topiques non adaptés.
- Le mauvais fonctionnement de la barrière intestinale.
Le stade de l’acné rosacée peut être confondue ou coexister avec de l’acné vulgaire et une dermatite séborrhéique.
- L’érythrose simple, fréquente chez le sujet jeune, peut avoir tendance à diminuer avec le temps.
- L’érythrocouperose peut parfois s’atténuer spontanément mais la plupart du temps la pathologie évolue toute la vie dans le sens de l’aggravation jusqu’aux formes plus sévères. Les rechutes sont fréquentes après le traitement, avec une rapidité dépendant du nombre de facteurs favorisants associés.
Pour traiter l’érythrocouperose, il existe différents traitements selon le stade de la pathologie.
Pour la couperose, les méthodes envisageables sont la sclérothérapie et la chirurgie.
Pour la rosacée, il existe des traitements antibiotiques oraux, des agents topiques et de l’isotrétinoïne.
Ces traitements sont soit invasifs entraînant des risques résiduels comme des cicatrices, soit à renouveler quotidiennement car ils agissent à l’instant et ne traitent pas la lésion de façon permanente.
Le traitement par laser vasculaire peut traiter l’érythrocouperose dans toutes ces étapes.
Les avantages d’un traitement par laser vasculaire est sa méthode non-invasive, un résultat durable sur toutes les étapes de l’érythrocouperose.
Dans le Centre Esthétique et Laser Gramont, ce type de lésion cutanée est traité par lasers vasculaires Nd-YAG (Fotona) et Ellipse IPL (Nordlys Candella).
Description du traitement
L’objectif du traitement est d’entraîner l’élimination ciblée des vaisseaux sanguins dilatés et apparents sans altérer la peau autour. La chaleur émise par le laser est captée par les vaisseaux provoquant une coagulation puis une disparition complète de la lésion en quelques jours.
Aujourd’hui, cette technique est l’une des plus efficace pour ce type de pathologie.
Traitement d’attaque
- Plusieurs séances sont nécessaires si le souhait du patient est la disparition complète des vaisseaux disgracieux. Les 3 premiers stades de la pathologie sont traités entre 4 à 6 séances espacées de 4 semaines. Les trois formes du stade de la rosacée sont traitées entre 2 à 4 séances espacées de 4 semaines. Une séance dure entre 15 minutes maximum.
Traitement d’entretien
- La couperose et l’érythrose sont des maladies chroniques, des séances sont à prévoir régulièrement par un traitement d’entretien tous les ans si nécessaire.
Saisonnalité
- Le traitement doit être privilégié en période hivernale.
- La peau est démaquillée et désinfectée.
- La position du patient pour le traitement de l’érythrocouperose par laser vasculaire est assise ou semi-allongée.
- Le port de coques spécifiques au laser est indispensable.
- En parallèle du laser, un gel, une ventilation ou un pack de froid est utilisé pour diminuer les douleurs.
- Les tirs lasers sont répartis de proche en proche sur toute la zone à traiter.
- La séance dure 15 minutes maximum.
Avant
- Éviter l’exposition au soleil ou aux UV 15 à 30 jours avant le traitement.
- Le laser s’effectue sur une peau NON bronzée (risque de brûlures ou de colorations de la peau).
- Protection solaire indispensable, écran total avant traitement.
- L’aspirine et les traitements anticoagulants majorent le PURPURA provoqué par le traitement laser. Même s’ils ne sont pas des contre-indications absolues. Il est préférable de les interrompre avant traitement.
- Éviter toute inflammation ou irritation de la peau.
- Appliquer une crème hydratante régulièrement pendant 15 jours avant.
- Dans un traitement par laser vasculaire, le patient ne doit pas utiliser de crème anesthésiante locale.
- Si le patient présente des antécédents d’herpès fréquents : une prescription d’un antiherpétique en prévention est nécessaire.
Après
- Pour éviter une hyperpigmentation post inflammatoire, il est préférable d’éviter de s’exposer au soleil ou aux UV 15 à 30 jours après le traitement.
- Un écran de protection solaire indice 50+ SPF doit être appliqué régulièrement sur les zones traitées exposées au soleil pendant minimum 6 semaines.
- Appliquer une crème cicatrisante pour accélérer le processus de cicatrisation immédiatement puis 2 à 3 fois par jour pendant 1 semaine (Cytolnat Centella, Aloe Vera, cicaplast baume B5, Cicalfate).
- En cas d’œdème post traitement laser au niveau du visage (érythrose diffuse surtout): 3-4 jours de crème à la cortisone à 0,5% (que l’on peut mélanger avec crème cicatrisante) +/- solupred.
- Application d’une vessie à glace, packs de froid après ou rafraîchissement par gel sur la zone traitée le jour de la séance.
- Des pulvérisations d’eau thermale peuvent être renouvelées à volonté.
- Dormir la tête surélevée (oreillers supplémentaires) les 3 nuits suivantes.
- Un maquillage de camouflage est parfaitement possible 24h après le laser.
Pour traiter l’érythrocouperose, il existe différents traitements selon le stade de la pathologie.
Pour la couperose, les méthodes envisageables sont la sclérothérapie et la chirurgie.
Pour la rosacée, il existe des traitements antibiotiques oraux, des agents topiques et de l’isotrétinoïne.
Ces traitements sont soit invasifs entraînant des risques résiduels comme des cicatrices, soit à renouveler quotidiennement car ils agissent à l’instant et ne traitent pas la lésion de façon permanente.
Le traitement par laser vasculaire peut traiter l’érythrocouperose dans toutes ces étapes.
Les avantages d’un traitement par laser vasculaire est sa méthode non-invasive, un résultat durable sur toutes les étapes de l’érythrocouperose.
Dans le Centre Esthétique et Laser Gramont, ce type de lésion cutanée est traité par lasers vasculaires Nd-YAG (Fotona) et Ellipse IPL (Nordlys Candella).
Description du traitement
L’objectif du traitement est d’entraîner l’élimination ciblée des vaisseaux sanguins dilatés et apparents sans altérer la peau autour. La chaleur émise par le laser est captée par les vaisseaux provoquant une coagulation puis une disparition complète de la lésion en quelques jours.
Aujourd’hui, cette technique est l’une des plus efficace pour ce type de pathologie.
Traitement d’attaque
- Plusieurs séances sont nécessaires si le souhait du patient est la disparition complète des vaisseaux disgracieux. Les 3 premiers stades de la pathologie sont traités entre 4 à 6 séances espacées de 4 semaines. Les trois formes du stade de la rosacée sont traitées entre 2 à 4 séances espacées de 4 semaines. Une séance dure entre 15 minutes maximum.
Traitement d’entretien
- La couperose et l’érythrose sont des maladies chroniques, des séances sont à prévoir régulièrement par un traitement d’entretien tous les ans si nécessaire.
Saisonnalité
- Le traitement doit être privilégié en période hivernale.
- La peau est démaquillée et désinfectée.
- La position du patient pour le traitement de l’érythrocouperose par laser vasculaire est assise ou semi-allongée.
- Le port de coques spécifiques au laser est indispensable.
- En parallèle du laser, un gel, une ventilation ou un pack de froid est utilisé pour diminuer les douleurs.
- Les tirs lasers sont répartis de proche en proche sur toute la zone à traiter.
- La séance dure 15 minutes maximum.
Avant
- Éviter l’exposition au soleil ou aux UV 15 à 30 jours avant le traitement.
- Le laser s’effectue sur une peau NON bronzée (risque de brûlures ou de colorations de la peau).
- Protection solaire indispensable, écran total avant traitement.
- L’aspirine et les traitements anticoagulants majorent le PURPURA provoqué par le traitement laser. Même s’ils ne sont pas des contre-indications absolues. Il est préférable de les interrompre avant traitement.
- Éviter toute inflammation ou irritation de la peau.
- Appliquer une crème hydratante régulièrement pendant 15 jours avant.
- Dans un traitement par laser vasculaire, le patient ne doit pas utiliser de crème anesthésiante locale.
- Si le patient présente des antécédents d’herpès fréquents : une prescription d’un antiherpétique en prévention est nécessaire.
Après
- Pour éviter une hyperpigmentation post inflammatoire, il est préférable d’éviter de s’exposer au soleil ou aux UV 15 à 30 jours après le traitement.
- Un écran de protection solaire indice 50+ SPF doit être appliqué régulièrement sur les zones traitées exposées au soleil pendant minimum 6 semaines.
- Appliquer une crème cicatrisante pour accélérer le processus de cicatrisation immédiatement puis 2 à 3 fois par jour pendant 1 semaine (Cytolnat Centella, Aloe Vera, cicaplast baume B5, Cicalfate).
- En cas d’œdème post traitement laser au niveau du visage (érythrose diffuse surtout): 3-4 jours de crème à la cortisone à 0,5% (que l’on peut mélanger avec crème cicatrisante) +/- solupred.
- Application d’une vessie à glace, packs de froid après ou rafraîchissement par gel sur la zone traitée le jour de la séance.
- Des pulvérisations d’eau thermale peuvent être renouvelées à volonté.
- Dormir la tête surélevée (oreillers supplémentaires) les 3 nuits suivantes.
- Un maquillage de camouflage est parfaitement possible 24h après le laser.
Le traitement de l’érythrocouperose par laser vasculaire obtient des résultats très satisfaisants quel que soit l’étape de la pathologie.
Plusieurs améliorations sont observées telles que la rougeur diffuse, le réseau vasculaire visible, la texture et l’éclaircissement de la peau.
Quelques jours après la séance, les premiers effets apparaissent. Nous pouvons considérer le résultat comme définitif 2 mois après.
La récidive est classique et se manifeste entre 1 et 2 ans. Un traitement d’entretien de laser vasculaire doit être réalisé de façon régulière.
Si la peau est préservée des facteurs qui favorisent l’érythrocouperose, les résultats sont prolongés.
Dans certains cas, le résultat peut être incomplet voire inexistant, cela peut être dû aux multiples facteurs qui favorisent la persistance de la pathologie.
Après la séance, la peau est plus moins marquée et le temps de récupération peut durer plusieurs jours.
Des effets secondaires peuvent survenir immédiatement après la séance :
- Une brûlure reste rare et est souvent accompagnée de cicatrices atrophiques ou hypertrophiques lors du traitement. Les cicatrices chéloïdes n’ont jamais été décrites après un traitement laser au visage.
- Une sensation de chaleur et de picotements.
- Des rougeurs peuvent rester 2 à 3 jours sur la zone traitée. Elles sont souvent accompagnées par des gonflements.
- Des ecchymoses peu durables qui peuvent être masquées par du maquillage.
- Du purpura.
- Des saignements.
Des effets secondaires apparaissent quelques jours après la séance :
- Des croûtes brunes et bulles épidermiques qui disparaissent quelques jours après sans traitement.
- Une hypopigmentation ou une hyperpigmentation sont généralement transitoires (quelques mois), régressives, rarement définitives.
- Une visibilité de certains vaisseaux peut être accentuée pendant 1 à 2 semaines de manière transitoire.
- Si la zone péribuccale a été traitée, une poussée d’herpès peut survenir.
- Une poussée de psoriasis ou d’eczéma.
- Grossesse.
- Attention aux phototypes V et VI (heureusement la demande est rare).
- Attention aux peaux très âgées et fines.
Antécédents cutanés
- Exposition au soleil ou UV importante récente, bronzage, utilisation d’autobronzant.
- Infection cutanée, plaie ou brûlure dans la zone à traiter.
- Lésion cutanée active (eczéma, dermatite, psoriasis) dans la zone à traiter.
- Trouble de la pigmentation.
- Tatouage ou maquillage permanent.
Antécédents Infectieux
- Fièvre le jour de la séance ou les jours avant.
- Pathologie infectieuse aiguë (bronchite, sinusite, angine, etc).
- Corticothérapie au long cours avec troubles trophiques secondaires.
Contre-indications liées à l’érythrocouperose
- Doute quant à la nature de la lésion.
Après la séance, la peau est plus moins marquée et le temps de récupération peut durer plusieurs jours.
Des effets secondaires peuvent survenir immédiatement après la séance :
- Une brûlure reste rare et est souvent accompagnée de cicatrices atrophiques ou hypertrophiques lors du traitement. Les cicatrices chéloïdes n’ont jamais été décrites après un traitement laser au visage.
- Une sensation de chaleur et de picotements.
- Des rougeurs peuvent rester 2 à 3 jours sur la zone traitée. Elles sont souvent accompagnées par des gonflements.
- Des ecchymoses peu durables qui peuvent être masquées par du maquillage.
- Du purpura.
- Des saignements.
Des effets secondaires apparaissent quelques jours après la séance :
- Des croûtes brunes et bulles épidermiques qui disparaissent quelques jours après sans traitement.
- Une hypopigmentation ou une hyperpigmentation sont généralement transitoires (quelques mois), régressives, rarement définitives.
- Une visibilité de certains vaisseaux peut être accentuée pendant 1 à 2 semaines de manière transitoire.
- Si la zone péribuccale a été traitée, une poussée d’herpès peut survenir.
- Une poussée de psoriasis ou d’eczéma.
- Grossesse.
- Attention aux phototypes V et VI (heureusement la demande est rare).
- Attention aux peaux très âgées et fines.
Antécédents cutanés
- Exposition au soleil ou UV importante récente, bronzage, utilisation d’autobronzant.
- Infection cutanée, plaie ou brûlure dans la zone à traiter.
- Lésion cutanée active (eczéma, dermatite, psoriasis) dans la zone à traiter.
- Trouble de la pigmentation.
- Tatouage ou maquillage permanent.
Antécédents Infectieux
- Fièvre le jour de la séance ou les jours avant.
- Pathologie infectieuse aiguë (bronchite, sinusite, angine, etc).
- Corticothérapie au long cours avec troubles trophiques secondaires.
Contre-indications liées à l’érythrocouperose
- Doute quant à la nature de la lésion.
Non invasif.
Pas d’injection de produit sclérosant.
Pas de pansement.
Moins de risque d’ecchymoses.