PEELING AU TCA SUPERFICIEL OU MOYEN
séances pour le peeling moyen et superficiel.
1 peeling annuel pour le moyen et 2 à 4 peelings peuvent être proposés tous les 6 mois pour le superficiel.
saisons : de novembre à avril.
En médecine esthétique, les peelings dermatologiques au TCA (acide trichloracétique) sont indiqués dans le traitement et la prévention du vieillissement de la peau et des imperfections.
Depuis quelques années, la médecine esthétique fait face à une demande grandissante pour des procédures toujours plus efficaces avec le moins d’effets indésirables possibles. Le peeling superficiel ou moyen au TCA fait partie de cette tendance et permet de profiter d’un résultat complet sans éviction sociale.
L’utilisation des peelings par les Égyptiennes avec de l’acide tartrique pour traiter les impuretés du visage est décrit dans le papyrus d’Ebers.
Ce sont les acides et jus de fruit (citron par exemple) qui servent de peelings.
En Autriche, Ferdinand Hebra travaille sur les effets des peelings superficiels sur diverses taches du visage.
Le dermatologue allemand Unna est le premier à révéler les propriétés du TCA.
Le docteur français Lagassé se sert du phénol afin de traiter les taches de poudre sur les visages des blessés, lors de la Première Guerre Mondiale, entraînant le développement du peeling au phénol aux Etats Unis par sa fille.
Le TCA 40% devient disponible.
Le docteur Van Scott étudie les effets des acides de fruits et apprend qu’ils boostent le renouvellement des cellules.
Obagi met l’accent sur la préparation de la peau avant traitement et l’importance de tamponner le TCA afin de le stabiliser. On parle alors de TCA adjuvés ou de blue peel.
Le docteur israélien Yoram Fintsi étudie le tamponnement du peeling profond au phénol.
Butler met en évidence la capacité de stimulation dermique d’un peeling superficiel.
Chaque peeling au TCA (superficiel ou moyen) répond à une problématique particulière ; pour traiter des marques légères, il suffira d’un peeling superficiel et pour des imperfections plus marquées et plus anciennes, un peeling moyen.
Le peeling adéquat est choisi selon la profondeur des lésions à traiter, ainsi que les effets secondaires et éviction sociale tolérés.
Le peeling est idéal pour lutter contre plusieurs indications, dont :
- Les effets du photovieillissement.
- Les irrégularités et anomalies de la peau (ridules fines, peau froissée, cicatrices superficielles, peau rugueuse et desséchée, kératose actinique ou séborrhéique et pores dilatés).
- Le relâchement cutané.
- Les troubles et irrégularités de la pigmentation (lentigos, mélasma, dyschromie, tache de rousseur).
- Les anomalies du teint (peau terne ou fatiguée, peau jaunâtre, peau de tabagique, teint brouillé ou manque d’éclat).
- Les peaux acnéiques (acné rétentionnelle ou comédons et microkystes, acné inflammatoire, cicatrices d’acné superficielles, acné chronique de la femme adulte).
- Les peaux grasses.
- Les vergetures ou les cicatrices (uniquement en complément d’une dermabrasion).
3500 avant JC
L’utilisation des peelings par les Égyptiennes avec de l’acide tartrique pour traiter les impuretés du visage est décrit dans le papyrus d’Ebers.
XIVème et XVème siècle
Ce sont les acides et jus de fruit (citron par exemple) qui servent de peelings.
1800
En Autriche, Ferdinand Hebra travaille sur les effets des peelings superficiels sur diverses taches du visage.
1882
Le dermatologue allemand Unna est le premier à révéler les propriétés du TCA.
1914 – 1918
Le docteur français Lagassé se sert du phénol afin de traiter les taches de poudre sur les visages des blessés, lors de la Première Guerre Mondiale, entraînant le développement du peeling au phénol aux Etats Unis par sa fille.
1926
Le TCA 40% devient disponible.
1978
Le docteur Van Scott étudie les effets des acides de fruits et apprend qu’ils boostent le renouvellement des cellules.
1980
Obagi met l’accent sur la préparation de la peau avant traitement et l’importance de tamponner le TCA afin de le stabiliser. On parle alors de TCA adjuvés ou de blue peel.
1986
Le docteur israélien Yoram Fintsi étudie le tamponnement du peeling profond au phénol.
2001
Butler met en évidence la capacité de stimulation dermique d’un peeling superficiel.
Chaque peeling au TCA (superficiel ou moyen) répond à une problématique particulière ; pour traiter des marques légères, il suffira d’un peeling superficiel et pour des imperfections plus marquées et plus anciennes, un peeling moyen.
Le peeling adéquat est choisi selon la profondeur des lésions à traiter, ainsi que les effets secondaires et éviction sociale tolérés.
Le peeling est idéal pour lutter contre plusieurs indications, dont :
- Les effets du photovieillissement.
- Les irrégularités et anomalies de la peau (ridules fines, peau froissée, cicatrices superficielles, peau rugueuse et desséchée, kératose actinique ou séborrhéique et pores dilatés).
- Le relâchement cutané.
- Les troubles et irrégularités de la pigmentation (lentigos, mélasma, dyschromie, tache de rousseur).
- Les anomalies du teint (peau terne ou fatiguée, peau jaunâtre, peau de tabagique, teint brouillé ou manque d’éclat).
- Les peaux acnéiques (acné rétentionnelle ou comédons et microkystes, acné inflammatoire, cicatrices d’acné superficielles, acné chronique de la femme adulte).
- Les peaux grasses.
- Les vergetures ou les cicatrices (uniquement en complément d’une dermabrasion).
Les peelings sont adaptables à toutes les zones du corps mais le plus souvent, sont réalisés sur :
- Le visage.
- Le cou.
- Le décolleté.
- Les mains.
Pour faire un peeling au TCA, le médecin esthétique applique sur la zone à traiter une solution caustique afin de détruire les tissus, de façon contrôlée. Cette solution altère une partie des couches de l’épiderme et du derme.
En fonction du type de peeling choisi, l’épaisseur de la peau traitée ne sera pas la même :
- Un peeling superficiel traite l’épiderme.
- Un peeling moyen traite l’épiderme et la partie supérieure du derme.
- Quant au peeling profond (peeling au phénol), il s’attaque à toutes les couches superficielles (jusqu’au derme réticulaire).
Chacun de ses peelings pénètre la peau à une profondeur différente, entraînant une destruction du tissu cutané. Cette pénétration est maîtrisable, ce qui permet de contrôler la destruction, sur laquelle dépendent les effets secondaires et les résultats.
Les différents peelings entrainent deux actions différentes :
- Une desquamation due à la rupture de liaisons entre les cellules.
- Une destruction totale des cellules et de la trame tissulaire à l’issue d’une dissolution et d’une coagulation des protéines.
Concrètement, que fait le peeling ?
Les ridules, les taches pigmentaires, les lésions d’acné et les autres imperfections se trouvent dans les couches superficielles de la peau. Le peeling détériore ces couches superficielles, permettant une régénération de la peau.
Lorsque la peau pèle, elle se renouvèle sans les imperfections ; elle paraît plus tendue et tonique, plus jeune, et améliorée dans la globalité.
Le peeling stimule l’activité cellulaire du derme et booste la production de collagène et de fibres élastiques. Il permet de lisser et d’affiner le grain de la peau.
Le derme n’augmente pas en épaisseur, cependant sa structure et sa densité sont réorganisées.
- Peeling superficiel : 4 séances à 7 à 15 jours d’intervalle.
- Peeling moyen : 1 séance, voire 2 selon le besoin, à intervalle d’un mois minimum.
- Selon le peeling effectué, il dure entre 15 et 30 minutes.
- Peeling superficiel : selon le type de peau, un traitement d’entretien est envisageable ; une série de 2 à 4 peelings peut être proposée tous les 6 mois.
- Peeling moyen : il peut être réalisé tous les ans ou tous les deux ans.
Il est essentiel de respecter et de suivre le protocole et les recommandations / prescriptions afin d’obtenir des résultats satisfaisants.
Le premier rendez-vous consiste en une consultation
- Avant la séance de peeling au TCA, il est nécessaire d’effectuer une consultation préalable. Elle permet de déterminer le peeling adéquat, d’établir les résultats envisageables et les effets secondaires et contre-indications.
- Le consentement éclairé ainsi que le questionnaire médical fournis doivent être lu et rempli avec attention.
- Afin de décider du type de peeling à utiliser, le médecin esthétique se base sur les classifications suivantes :
- La classification de Fitzpatrick: elle permet de définir le phototype du patient. Le phototype permet une catégorisation des types de peau selon leur couleur.
- La classification de Glogau : elle permet d’analyser l’ampleur des atteintes cutanées et donc la profondeur du peeling adéquat.
Le deuxième rendez-vous lance le processus
La séance dure entre 15 et 30 minutes.
- Le visage est démaquillé soigneusement et dégraissé à l’aide d’un cleanser.
- Tous les bijoux sont enlevés pour éviter que le produit les détériore ou s’accumule autour d’eux.
- L’application du peeling se fait par mouvements circulaires avec deux coton-tiges.
- En fonction du peeling choisi, plusieurs passages sont possibles.
- À l’application, il est normal de ressentir de la chaleur. Des rougeurs, picotements et œdèmes peuvent également apparaître.
- La crème Post Peel est appliquée : elle n’arrête pas l’action du peeling mais apaise la peau. Il est important de ne pas l’enlever ; Il ne faut pas laver le visage avant le lendemain matin. La crème doit rester posée sur la peau pendant 8h car elle a des propriétés antiinflammatoires et antioxydantes.
Prescriptions pré-peeling à respecter
Comme toute procédure en médecine esthétique, le peeling demande une préparation de la zone à traiter ; cette préparation est essentielle pour commencer à améliorer la qualité de la peau. Dans le cas de certains peelings, elle se fait par l’application de crèmes actives. La préparation prend plusieurs jours et l’objectif est d’éviter au maximum les effets indésirables et de potentialiser les effets du peeling.
- Protection solaire
- Même à l’intérieur, il faut absolument appliquer une protection solaire SPF50+. Il est possible d’opter pour une gamme teintée ou y associer un fond de teint.
- Crème de préparation au peeling
- La crème de préparation contient des actifs qui restreignent la production de mélanine, et ainsi, réduisent le risque d’apparition de taches après le peeling. Certaines crèmes traitent spécifiquement l’acné, le relâchement ou l’atrophie.
Il est important de suivre les étapes de la préparation à la lettre : plus le protocole est respecté, moins il y a de risques de troubles pigmentaires !
Avant
- Eviter toute exposition solaire pendant 1 mois avant le peeling et appliquer une protection SPF50+.
- Ne pas utiliser de cosmétiques type exfoliants, argile, huiles essentielles, autobronzants, dérivés de la vitamine A en topiques, alcool ou acétone, ou autres produits agressifs pour la peau : informer le médecin de l’utilisation des cosmétiques utilisées, même bio.
- Ne pas s’épiler la zone à traiter pendant 7 jours avant.
- Ne pas raser la zone traitée depuis moins de 24h.
Le jour de la séance
- Savonner et sécher la zone concernée.
- Ne pas maquiller la peau.
- Ne pas appliquer de parfum.
- Ne pas appliquer de l’écran total ou d’autres crèmes.
- Ne pas mettre de lentilles de contact.
- Enlever tous les bijoux.
- Ne pas aller à la piscine ou faire de hammam ou sauna.
Après
- Un traitement antiherpétique doit être pris en cas d’antécédents d’herpès, que ce soit pour les peelings superficiels ou moyens.
- Eviter tout contact buccal.
- Ne pas approcher les animaux avec le visage.
- Faire extrêmement attention et prévenir les infections bactériennes.
- Ne pas utiliser de cosmétiques type exfoliants, argile, huiles essentielles, autobronzants, dérivés de la vitamine A en topiques, alcool ou acétone, ou autres produits agressifs pour la peau, comme avant la séance.
- Poursuivre l’application de crèmes pour le traitement des taches, pendant 2 mois après le peeling.
- Ne pas s’exposer au soleil pendant 2 mois pour le peeling superficiel et 3 mois pour le peeling moyen.
Pour faire un peeling au TCA, le médecin esthétique applique sur la zone à traiter une solution caustique afin de détruire les tissus, de façon contrôlée. Cette solution altère une partie des couches de l’épiderme et du derme.
En fonction du type de peeling choisi, l’épaisseur de la peau traitée ne sera pas la même :
- Un peeling superficiel traite l’épiderme.
- Un peeling moyen traite l’épiderme et la partie supérieure du derme.
- Quant au peeling profond (peeling au phénol), il s’attaque à toutes les couches superficielles (jusqu’au derme réticulaire).
Chacun de ses peelings pénètre la peau à une profondeur différente, entraînant une destruction du tissu cutané. Cette pénétration est maîtrisable, ce qui permet de contrôler la destruction, sur laquelle dépendent les effets secondaires et les résultats.
Les différents peelings entrainent deux actions différentes :
- Une desquamation due à la rupture de liaisons entre les cellules.
- Une destruction totale des cellules et de la trame tissulaire à l’issue d’une dissolution et d’une coagulation des protéines.
Concrètement, que fait le peeling ?
Les ridules, les taches pigmentaires, les lésions d’acné et les autres imperfections se trouvent dans les couches superficielles de la peau. Le peeling détériore ces couches superficielles, permettant une régénération de la peau.
Lorsque la peau pèle, elle se renouvèle sans les imperfections ; Elle paraît plus tendue et tonique, plus jeune, et améliorée dans la globalité.
Le peeling stimule l’activité cellulaire du derme et booste la production de collagène et de fibres élastiques. Il permet de lisser et d’affiner le grain de la peau.
Le derme n’augmente pas en épaisseur, cependant sa structure et sa densité sont réorganisées.
Combien de séances ?
- Peeling superficiel : 4 séances à 7 à 15 jours d’intervalle.
- Peeling moyen : 1 séance, voire 2 selon le besoin, à intervalle d’un mois minimum.
Quelle durée ?
- Entre 15 et 30 minutes.
Traitement d’entretien ?
- Peeling superficiel : selon le type de peau, un traitement d’entretien est envisageable ; une série de 2 à 4 peelings peut être proposée tous les 6 mois.
- Peeling moyen : il peut être réalisé tous les ans ou tous les deux ans.
Il est essentiel de respecter et de suivre le protocole et les recommandations / prescriptions afin d’obtenir des résultats satisfaisants.
Le premier rendez-vous consiste en une consultation
- Avant la séance de peeling au TCA, il est nécessaire d’effectuer une consultation préalable. Elle permet de déterminer le peeling adéquat, d’établir les résultats envisageables et les effets secondaires et contre-indications.
- Le consentement éclairé ainsi que le questionnaire médical fournis doivent être lu et rempli avec attention.
- Afin de décider du type de peeling à utiliser, le médecin esthétique se base sur les classifications suivantes :
- La classification de Fitzpatrick: elle permet de définir le phototype du patient. Le phototype permet une catégorisation des types de peau selon leur couleur.
- La classification de Glogau : elle permet d’analyser l’ampleur des atteintes cutanées et donc la profondeur du peeling adéquat.
Le deuxième rendez-vous lance le processus
La séance dure entre 15 et 30 minutes.
- Le visage est démaquillé soigneusement et dégraissé à l’aide d’un cleanser.
- Tous les bijoux sont enlevés pour éviter que le produit les détériore ou s’accumule autour d’eux.
- L’application du peeling se fait par mouvements circulaires avec deux coton-tiges.
- En fonction du peeling choisi, plusieurs passages sont possibles.
- À l’application, il est normal de ressentir de la chaleur. Des rougeurs, picotements et œdèmes peuvent également apparaître.
- La crème Post Peel est appliquée : elle n’arrête pas l’action du peeling mais apaise la peau. Il est important de ne pas l’enlever ; Il ne faut pas laver le visage avant le lendemain matin. La crème doit rester posée sur la peau pendant 8h car elle a des propriétés antiinflammatoires et antioxydantes.
Prescriptions pré-peeling à respecter
Comme toute procédure en médecine esthétique, le peeling demande une préparation de la zone à traiter ; cette préparation est essentielle pour commencer à améliorer la qualité de la peau. Dans le cas de certains peelings, elle se fait par l’application de crèmes actives. La préparation prend plusieurs jours et l’objectif est d’éviter au maximum les effets indésirables et de potentialiser les effets du peeling.
- Protection solaire
- Même à l’intérieur, il faut absolument appliquer une protection solaire SPF50+. Il est possible d’opter pour une gamme teintée ou y associer un fond de teint.
- Crème de préparation au peeling
- La crème de préparation contient des actifs qui restreignent la production de mélanine, et ainsi, réduisent le risque d’apparition de taches après le peeling. Certaines crèmes traitent spécifiquement l’acné, le relâchement ou l’atrophie.
Il est important de suivre les étapes de la préparation à la lettre : plus le protocole est respecté, moins il y a de risques de troubles pigmentaires !
AVANT
- Eviter toute exposition solaire pendant 1 mois avant le peeling et appliquer une protection SPF50+.
- Ne pas utiliser de cosmétiques type exfoliants, argile, huiles essentielles, autobronzants, dérivés de la vitamine A en topiques, alcool ou acétone, ou autres produits agressifs pour la peau : informer le médecin de l’utilisation des cosmétiques utilisées, même bio.
- Ne pas s’épiler la zone à traiter pendant 7 jours avant.
- Ne pas raser la zone traitée depuis moins de 24h.
LE JOUR DE LA SEANCE
- Savonner et sécher la zone concernée.
- Ne pas maquiller la peau.
- Ne pas appliquer de parfum.
- Ne pas appliquer de l’écran total ou d’autres crèmes.
- Ne pas mettre de lentilles de contact.
- Enlever tous les bijoux.
- Ne pas aller à la piscine ou faire de hammam ou sauna.
APRÈS
- Un traitement antiherpétique doit être pris en cas d’antécédents d’herpès, que ce soit pour les peelings superficiels ou moyens.
- Eviter tout contact buccal.
- Ne pas approcher les animaux avec le visage.
- Faire extrêmement attention et prévenir les infections bactériennes.
- Ne pas utiliser de cosmétiques type exfoliants, argile, huiles essentielles, autobronzants, dérivés de la vitamine A en topiques, alcool ou acétone, ou autres produits agressifs pour la peau, comme avant la séance.
- Poursuivre l’application de crèmes pour le traitement des taches, pendant 2 mois après le peeling.
- Ne pas s’exposer au soleil pendant 2 mois pour le peeling superficiel et 3 mois pour le peeling moyen.
En fonction de la profondeur d’action, les peelings agissent sur :
- L’hydratation du derme.
- Les imperfections et irrégularités (ridules, taches, pigmentation, reliefs, etc).
- Les cicatrices superficielles atrophiques d’acné.
- La production de sébum.
- L’élasticité et le relâchement cutané.
Les résultats dépendent fortement de la préparation de la peau pré-soin, de la technique d’application et du temps de pose. La carnation de la peau, ainsi que la répétition du traitement jouent un rôle important.
Les résultats à la suite d’un seul peeling superficiel sont modestes. Son action est progressive. Lorsqu’un peeling superficiel est répété, les résultats sur les signes de vieillissement sont satisfaisants.
Les effets de plusieurs peelings superficiels sont similaires mais plus graduels que ceux d’un seul peeling moyen. Ces effets restent visibles plusieurs mois.
Les résultats d’un peeling moyen très appuyé sont impressionnants ! Les bénéfices peuvent être conservés pendant de nombreuses années.
En fonction de la profondeur d’action, les peelings agissent sur :
- L’hydratation du derme.
- Les imperfections et irrégularités (ridules, taches, pigmentation, reliefs, etc).
- Les cicatrices superficielles atrophiques d’acné.
- La production de sébum.
- L’élasticité et le relâchement cutané.
Les résultats dépendent fortement de la préparation de la peau pré-soin, de la technique d’application et du temps de pose. La carnation de la peau, ainsi que la répétition du traitement jouent un rôle important.
Les résultats à la suite d’un seul peeling superficiel sont modestes. Son action est progressive. Lorsqu’un peeling superficiel est répété, les résultats sur les signes de vieillissement sont satisfaisants.
Les effets de plusieurs peelings superficiels sont similaires mais plus graduels que ceux d’un seul peeling moyen. Ces effets restent visibles plusieurs mois.
Les résultats d’un peeling moyen très appuyé sont impressionnants ! Les bénéfices peuvent être conservés pendant de nombreuses années.
Selon la couleur de la peau, l’apparition d’un givrage, d’un œdème ou de frisures, ainsi que de la douleur engendrée, la pénétration du peeling au TCA se contrôle. Compte tenu de ces réactions cutanées, le praticien est en mesure d’anticiper les possibles effets positifs ou négatifs.
Dans le cas d’un peeling superficiel, les réactions peuvent varier :
- Absence de givrage mais rougeur de la peau : la peau ne pèle pas.
- Givrage blanc accompagné de rougeurs : desquamation fine (2 à 4 jours).
Les peelings moyens peuvent agir sur deux profondeurs différentes selon l’aspect clinique observé :
- Givrage rose et blanc accompagné d’un œdème : il s’agit d’un peeling moyen au derme papillaire / desquamation qui dure 7 jours dès le 3e jour post-traitement.
- Givrage blanc, frost global et frisure : il s’agit d’un peeling moyen jusqu’au derme réticulaire / desquamation de 10 jours dès le 3e jour post-traitement.
Effets secondaires attendus sans gravité, sans traitement ou répondant à un traitement simple
- Desquamation : le peeling superficiel ne provoque pas de désagréments notables – après la séance, il est possible de reprendre ses activités. La peau pèle légèrement ou modérément. Les peluches sont couleur chair, claires. Il ne faut ni les arracher ni les gratter. La peau pèle de façon plus importante après un peeling moyen. Entre le 3e et le 6e jour, des plaques brunes se forment et se détachent de la peau. Ce phénomène peut durer entre 6 à 10 jours en fonction de la profondeur d’action du peeling. Lorsque ces peaux desséchées et fines se décollent, il est possible de les couper au ciseau.
Si les peaux présentent un aspect épais, à bords croûtés et/ou douloureux, il faut consulter le médecin. - Erythème : comme après un coup de soleil, des rougeurs apparaissent sur la zone traitée. Elles s’atténuent dans les 2 heures suivant un peeling superficiel ; il est possible qu’elles soient visibles plus longtemps dans les cas de peelings moyen et profond (jusqu’à plusieurs semaines).
- Œdème : pendant les 3 premiers jours après le peeling, des œdèmes peuvent apparaître autour des yeux ou sur le reste du visage. Il est recommandé d’appliquer du froid ou de l’eau thermale pour réduire ces œdèmes.
- Tiraillements : les 3 premiers jours, apparait une sensation de tiraillement qui subsiste quelques heures. Afin d’apaiser la peau, il ne faut pas hésiter à appliquer la crème réparatrice fournie plusieurs fois.
- Démangeaisons : cela veut dire que, malgré la gêne occasionnée, la peau est en cours de guérison.
Effets secondaires abordés lord d’une consultation de suivi
- Microkystes ou grains de milium : la formation de microkystes est due à la cicatrisation ou à l’utilisation de crèmes trop grasses. Il est possible de les retirer dans un second temps.
- Hyperpigmentation post-inflammatoire : il s’agit d’un trouble de la pigmentation qui se manifeste par des taches plus foncées que la couleur de la peau. Certains types de peau (foncée, asiatique, noire…) sont plus enclins à l’hyperpigmentation mais attention, le non-respect des recommandations peut déclencher cette réaction dans tous les cas.
- Différences de texture de peau : afin d’éviter des différences de texture post-traitement, une bonne préparation de la peau en amont est primordiale. L’uniformité du résultat en dépend !
- Cicatrice hypertrophique : elles indiquent une cicatrisation difficile. Les peaux qui ont tendance à mal cicatriser sont plus à risques mais cela peut arriver en cas de non-respect des recommandations post-traitement.
Effets secondaires nécessitant une consultation « urgente » pour avis ou prescription médicale
- Réaction allergique : elles sont évitables par un essai du produit, surtout en cas d’antécédents d’allergie cutanée.
- Acné : sur des peaux à tendance acnéique, une poussée d’acné est possible post-traitement. La prise en charge se fait par antibiothérapie par voie orale.
- Infection : c’est un effet secondaire rare qui se manifeste par une douleur allant crescendo et par la possible présence de rougeurs ou pustules (boutons). Il faut consulter le médecin pour une prescription d’antibiotique ou d’antiviral.
- Erythème qui ne disparait pas : lorsque le peeling provoque une brûlure la plupart du temps maîtrisée. Si la brûlure a été trop intense, le médecin esthétique peut être amené à prescrire des corticoïdes à appliquer afin de le réduire et d’éviter des troubles pigmentaires ou de la cicatrisation.
- Croute qui ne disparait pas : il est possible que ce soit une infection et il faut la traiter de façon efficace.
Les peelings dermatologiques sont contre-indiqués dans les cas de :
- Grossesse.
Antécédents généraux
- Dysfonctionnement du système immunitaire.
- Diabète mal équilibré ou sévère.
- Cancer actuel ou local récent.
Antécédents infectieux
- Pathologie infectieuse chronique (VIH, hépatites, tuberculose).
Antécédents cutanés
- Infection cutanée.
- Lésion cutanée active.
- Couperose et érythrose.
- Plaie ou brûlure.
- Coupures, griffures, irritations de rasage.
- Antécédents de cicatrices chéloïdes ou hypertrophiques.
- Peau irradiée.
- Cancer cutané actuel ou récent.
- Peau bronzée avec exposition solaire importante.
- Peau de phototype 4 et plus.
- Antécédent d’hyperpigmentation post inflammatoire.
- Peau glabre.
- Peaux sensibles, irritables ou réactive.
Antécédents esthétiques
- Epilation récente à la cire, laser ou même pince de moins de 7 jours.
- Gommage récent.
- Hammam récent.
- Applications d’autobronzant.
Antécédents allergiques
- Antécédents d’allergie cutanée ou d’intolérance à l’application de cosmétiques.
Prise médicamenteuse
- Traitement immunosuppresseur.
- Traitement par voie orale pour l’acné, traitement par isotrétinoide oral (roaccutane, curacné, contracné) datant de moins de 1 mois pour un peeling superficiel et moins de 6 mois pour un peeling moyen.
- Traitement local contre l’acné (isotrétinoine, différine ou peroxyde de benzoyle, adapalène) datant de moins de 15 jours.
- Traitement par corticoïdes.
- Prise de médicaments photo-sensibilisants (antipaludéens de synthèse, antibiotiques…).
Selon la couleur de la peau, l’apparition d’un givrage, d’un œdème ou de frisures, ainsi que de la douleur engendrée, la pénétration du peeling au TCA se contrôle. Compte tenu de ces réactions cutanées, le praticien est en mesure d’anticiper les possibles effets positifs ou négatifs.
Dans le cas d’un peeling superficiel, les réactions peuvent varier :
- Absence de givrage mais rougeur de la peau : la peau ne pèle pas.
- Givrage blanc accompagné de rougeurs : desquamation fine (2 à 4 jours).
Les peelings moyens peuvent agir sur deux profondeurs différentes selon l’aspect clinique observé :
- Givrage rose et blanc accompagné d’un œdème : il s’agit d’un peeling moyen au derme papillaire / desquamation qui dure 7 jours dès le 3e jour post-traitement.
- Givrage blanc, frost global et frisure : il s’agit d’un peeling moyen jusqu’au derme réticulaire / desquamation de 10 jours dès le 3ème jour post-traitement.
Effets secondaires attendus sans gravité (sans traitement ou traitement simple)
- Desquamation : le peeling superficiel ne provoque pas de désagréments notables – après la séance, il est possible de reprendre ses activités. La peau pèle légèrement ou modérément. Les peluches sont couleur chair, claires. Il ne faut ni les arracher ni les gratter. La peau pèle de façon plus importante après un peeling moyen. Entre le 3e et le 6e jour, des plaques brunes se forment et se détachent de la peau. Ce phénomène peut durer entre 6 à 10 jours en fonction de la profondeur d’action du peeling. Lorsque ces peaux desséchées et fines se décollent, il est possible de les couper au ciseau.
Si les peaux présentent un aspect épais, à bords croûtés et/ou douloureux, il faut consulter le médecin. - Erythème : comme après un coup de soleil, des rougeurs apparaissent sur la zone traitée. Elles s’atténuent dans les 2 heures suivant un peeling superficiel ; il est possible qu’elles soient visibles plus longtemps dans les cas de peelings moyen et profond (jusqu’à plusieurs semaines).
- Œdème : pendant les 3 premiers jours après le peeling, des œdèmes peuvent apparaître autour des yeux ou sur le reste du visage. Il est recommandé d’appliquer du froid ou de l’eau thermale pour réduire ces œdèmes.
- Tiraillements : les 3 premiers jours, apparait une sensation de tiraillement qui subsiste quelques heures. Afin d’apaiser la peau, il ne faut pas hésiter à appliquer la crème réparatrice fournie plusieurs fois.
- Démangeaisons : cela veut dire que, malgré la gêne occasionnée, la peau est en cours de guérison.
Effets secondaires abordés lord d’une consultation de suivi
- Microkystes ou grains de milium : la formation de microkystes est due à la cicatrisation ou à l’utilisation de crèmes trop grasses. Il est possible de les retirer dans un second temps.
- Hyperpigmentation post-inflammatoire : il s’agit d’un trouble de la pigmentation qui se manifeste par des taches plus foncées que la couleur de la peau. Certains types de peau (foncée, asiatique, noire…) sont plus enclins à l’hyperpigmentation mais attention, le non-respect des recommandations peut déclencher cette réaction dans tous les cas.
- Différences de texture de peau : afin d’éviter des différences de texture post-traitement, une bonne préparation de la peau en amont est primordiale. L’uniformité du résultat en dépend !
- Cicatrice hypertrophique : elles indiquent une cicatrisation difficile. Les peaux qui ont tendance à mal cicatriser sont plus à risques mais cela peut arriver en cas de non-respect des recommandations post-traitement.
Effets secondaires nécessitant une consultation « urgente » pour avis ou prescription médicale
- Réaction allergique : elles sont évitables par un essai du produit, surtout en cas d’antécédents d’allergie cutanée.
- Acné : sur des peaux à tendance acnéique, une poussée d’acné est possible post-traitement. La prise en charge se fait par antibiothérapie par voie orale.
- Infection : c’est un effet secondaire rare qui se manifeste par une douleur allant crescendo et par la possible présence de rougeurs ou pustules (boutons). Il faut consulter le médecin pour une prescription d’antibiotique ou d’antiviral.
- Erythème qui ne disparait pas : lorsque le peeling provoque une brûlure la plupart du temps maîtrisée. Si la brûlure a été trop intense, le médecin esthétique peut être amené à prescrire des corticoïdes à appliquer afin de le réduire et d’éviter des troubles pigmentaires ou de la cicatrisation.
- Croute qui ne disparait pas : il est possible que ce soit une infection et il faut la traiter de façon efficace.
Les peelings dermatologiques sont contre-indiqués dans les cas de :
- Grossesse.
Antécédents généraux
- Dysfonctionnement du système immunitaire.
- Diabète mal équilibré ou sévère.
- Cancer actuel ou local récent.
Antécédents infectieux
- Pathologie infectieuse chronique (VIH, hépatites, tuberculose).
Antécédents cutanés
- Infection cutanée.
- Lésion cutanée active.
- Couperose et érythrose.
- Plaie ou brûlure.
- Coupures, griffures, irritations de rasage.
- Antécédents de cicatrices chéloïdes ou hypertrophiques.
- Peau irradiée.
- Cancer cutané actuel ou récent.
- Peau bronzée avec exposition solaire importante.
- Peau de phototype 4 et plus.
- Antécédent d’hyperpigmentation post inflammatoire.
- Peau glabre.
- Peaux sensibles, irritables ou réactive.
Antécédents esthétiques
- Epilation récente à la cire, laser ou même pince de moins de 7 jours.
- Gommage récent.
- Hammam récent.
- Applications d’autobronzant.
Antécédents allergiques
- Antécédents d’allergie cutanée ou d’intolérance à l’application de cosmétiques.
Prises médicamenteuses
- Traitement immunosuppresseur.
- Traitement par voie orale pour l’acné, traitement par isotrétinoide oral (roaccutane, curacné, contracné) datant de moins de 1 mois pour un peeling superficiel et moins de 6 mois pour un peeling moyen.
- Traitement local contre l’acné (isotrétinoine, différine ou peroxyde de benzoyle, adapalène) datant de moins de 15 jours.
- Traitement par corticoïdes.
- Prise de médicaments photo-sensibilisants (antipaludéens de synthèse, antibiotiques…).
Les peelings dermatologiques représentent une alternative simple à des techniques beaucoup plus invasives pour des résultats tout aussi efficaces.
Dans la balance, les bénéfices à faire un peeling au TCA dépassent largement les risques et ce, pour un prix très raisonnable.
Les peelings ne contraignent pas à une éviction sociale et s’imposent comme un traitement préventif et curatif du vieillissement cutané.
Pour compléter l’action des peelings superficiels et moyens, il est possible de les associer à d’autres procédés de médecine esthétique comme :
- Des injections de toxine botulique.
- Des injections d’acide hyaluronique.
- Le laser fractionné pour relisser des cicatrices cutanées.
- Le microneedling.
- Des séances de photobiomodulation par LED.
Les peelings superficiels et moyens au TCA permettent à la peau de se regénérer et de rajeunir visiblement. Ils procurent une grande amélioration des différentes caractéristiques de la peau (éclat, teint, hydratation…).
Ces résultats peuvent être obtenus en partie par d’autres techniques :
- Le laser ablatif.
- Le microneedling.
- Les injections de skin boosters.
- Le mésolift ou mésothérapie esthétique.
- La dermabrasion superficielle.